Le placement est une action par laquelle on achète et vend des titres en bourses. Bien que le procédé puisse rapporter gros, elle peut également faire perdre énormément. Il importe donc de prendre les précautions nécessaires afin de ne pas tomber dans le désastre d’un mauvais placement.
Première règle : dois-je être propriétaire ou créancier ?
Définir son statut est impératif avant toute action de placement. Il s’agit de se positionner entant que propriétaire ou entant que créancier. Le propriétaire est celui qui détient les titres de propriété d’une entreprise. Les propriétaires sont principalement des actionnaires et de ce fait ne reçoivent aucune rémunération propre. Les bénéfices qu’ils récoltent à ce titre proviennent des dividendes qui leur sont octroyés par l’entreprise. Les créanciers, par contre, se classent dans la catégorie des débutants dans le domaine du placement. Comme le terme l’indique, le créancier est celui qui investit en offrant des prêts aux banques et autres institutions financières d’utilité publique. En échange de cet emprunt, l’entrepreneur reçoit des revenus d’intérêt. Plus accessible et plus sécuritaire, l’investisseur est assuré de voir un retour sur ses investissements. Parmi les types de placements possibles pour les créanciers figurent les dépôts à terme. Ce type de placement se fait en passant un accord avec un agent financier. Le créancier peut également prêter des fonds au gouvernement en échange d’un revenu d’intérêt. Il s’agit là d’obligations négociables des gouvernements qui diffèrent des obligations corporatives, contractées avec des institutions privées.
Deuxième règle : déterminer les facteurs fondamentaux
Un bon placement est un placement murement réfléchi. Il prend en compte plusieurs paramètres allant de la situation personnelle, matrimoniale, sociale à l’état de votre portefeuille de placement. La connaissance de votre situation permet en effet de mieux définir le type de placement qu’il vous faudra mettre en œuvre. Connaissez également vos limites. Faut-il rappeler que l’activité dont il est ici question est très délicate. Les risques de pertes et les chances de gain ne sont jamais connus à l’avance. Il importe en ce sens de savoir ce que vous êtes prêt à sacrifier pour votre investissement. Ce facteur est étroitement lié avec le rendement espéré. En effet, plus ce dernier est élevé plus le risque à assumer sera grand. Vous aurez par ailleurs à déterminer la durée de votre placement avant de mettre en œuvre une stratégie de diversification. Il s’agit de multiplier les titres de telle sorte à réduire les risques et l’ampleur des pertes.
Se lancer du jour au lendemain dans des opérations de placement n’est pas conseillé. Cette opération présente certes de gros bénéfices, mais les risques encourus ne sont pas à prendre à la légère. Ainsi faut-il garder à l’esprit qu’à chaque type de situation correspond un type de placement adapté. Il s’agit en quelque sorte d’un kit ou double qui peut jouer au profit ou aux dépens du joueur. La question fondamentale à se poser est donc : « combien, l’investisseur est-il prêt à perdre ? »
L’idée est de ne pas placer les œufs dans le même panier. En répartissant vos titres, vos avoirs ne seront pas mis en péril en même temps.
À cette liste s’ajoute, les paramètres fiscaux, outre la situation du portefeuille de placement qui détermine l’expérience de l’investisseur.
Se lancer du jour au lendemain dans des opérations de placement n’est pas conseillé. Cette opération présente certes de gros bénéfices, mais les risques encourus ne sont pas à prendre à la légère. Ainsi faut-il garder à l’esprit qu’à chaque type de situation correspond un type de placement adapté. Il s’agit en quelque sorte d’un kit ou double qui peut jouer au profit ou aux dépens du joueur. La question
fondamentale à se poser est donc : « combien, l’investisseur est-il prêt à perdre ? »